Il était une fois le malhoun Une musique où coexistent le religieux, le profane et le fantastique Il ne fait aucun doute que le malhoun nous livre, à travers ses chantres, la plus élaborée des formes de versification en arabe dialectal marocain et par la même occasion, un imposant corpus de poèmes et de chants conservés et véhiculés par une double tradition orale et de manuscrits. |